World London-London

--> Hello-hello,  Désolé mais je n’ai pas pu faire de post plus tôt. Mon bouleau alimentaire prend un petit peu de place ces temps-ci. Bon today on va tenter de répondre à une question démocratique et entêtante. Quel appareil choisir ? Je suis un amateur et à ce titre, tout ce que je distille est à prendre avec des pincettes. Leica R9 (Francfort)  1 ère règle, le modèle. Une chose dont je suis sûr pourtant, c’est que si la photo est une passion que vous découvrez grandissante chaque jour, évitez absolument les appareils type bridge. Ils capitalisent tous les désavantages des boitiers reflex et compact. En gros c’est un concentré de technologie peu pratique. Ils ont la grosseur des reflex et l’impossibilité des compacts de jouer sur les objectifs (donc la sensibilité, focal, ouverture…). Même s’ils peuvent être séduisant, c’est comme si vous achetiez une réplique d’une Harley… en 125cm3. La crampe. 2 nde chose, il n’y a pas vraiment de marque leader dan

"T'es trop stupide à prendre des tofs de fleurs, franchement"... Bon c'est sur ces bonnes paroles de Waf ou Lina (je sais plus) que je commence la série des fleurs. Au delà du coté midinette, je trouve que cette nature est la plus belle à photographier, la plus étrange et la plus cruelle. Le velouté que l'on retrouve dans les pétales d'une rose sont autant de piège que dénonce Saadi, dans le Gullistan,(un peu de culture perse s'il vous plaît). Prendre en photo une fleur, c'est sensiblement comme un humain. Il y a les portraits, les profondeurs, les imprévus, les scènes, les clichés ratés et les réussites incongrues. Les mêmes contraintes, lumière, couleurs et saut d'humeur du sujet. Un conseil, si vous prenez en portrait une fleur, surtout mettez au maximum votre résolution et enregistrez en raw (si vous ne le faîtes pas habituellement). Plus la définition est impressionnante, plus vous décèlerez des détails incro

"Je déteste quand tu me prends en photo, je suis moche"   Un bon petit lundi. Bon avant de disparaître dans les nuages de la semaine alimentaire, outre-Rhin cette fois-ci, je profite du voyage pour un poste (encore) comparatif de retouche. Cette fois-ci nous nous attaquons au portrait. Pardonnez-moi, j'en oublie d'abord toute civilité. Bonjour! Le shoot ou l'épreuve originale est souvent, malheureusement, altérée par un environnement trop agressif. Je ne vous apprends rien mais outre certains cas en extérieur ou dans un studio professionnel, le pire cauchemar sont les photos d'intérieur. A moins que vous n'ayez un 1800m² avec un agora diffusant une lumière primaire adoucissante ou un matériel de lumière artificielle (lumière, néon...), vous êtes confronté à une lumière complémentaire (flash). Du coup, grain de peau, fard et perte de naturel évident. Voila par exemple le portrait original:    La première étape est de cerné le sujet

"Réussir une retouche, c'est réussir une deuxième photo" Une retouche,quoi de plus parlant qu'un bon vieil exemple. Prenons deux cygnes de Londres, pris en flag' de batifole. On reconnait nettement à gauche ce gris pâle des bassins de Hyde Park, l'inutilité du blanc des vilains canards adulte shakespearien et le reflet blafard d'une vie sur l'île du lapin assis.Le genre de photo qui finit dans un dossier obscur du type "2009 - 12 Dec - London" sur votre Finder. Mais non, pas possible, cette photo peut avoir un intérêt. Même du charme en se débrouillant bien. C'est tout l'intérêt d'une retouche. Non pas de rendre blonde Kate Moose après désintox ou d'allonger les jambes de la croix-rouge Karembeu, mais simplement de tenter de faire vivre un cliché à l'arrière goût de jelly. En fait, ce qui me pousse la plupart du temps à tenter une retouche, c'est que le moment ou la photo a été prise reflète un état d'

"Geneva, n'y allez pas pour l'immobilier. Et pour le réveillon." Un bon air de Don Giovanni. ça arrive, et alors on est dans un autre monde. De cette ligne de coeur (TGV), la perception encore 16/9ème, je vous souhaite à tous et de tout coeur (encore, décidément!) une très belle année, avec tout plein de surprise, de fortune sentimentale et d'imprévue. Et aussi de ne pas aller à Genève. C'est pour les vieux. Ou pour les casaniers au revenu supérieur à 50K /mois. J'attendrai ma retraite. Bon c'est pas tout à fait vrai, c'est tout de même une belle ville, pleine de suisse et tout ce qui va avec. Pour la fête, préférez Lausanne, pour les hôtels et l'orgie masquée, Genève. Bref. Cette photo est simplement la hanse du Léman. L'intérêt ici a été de retoucher les contrastes, de pousser à l'extrême l'aspect sombre pour faire ressortir les lumières. La limite de saturation vous est donnée par le reflet d